Cet article est extrait du premier numéro du WE DEMAIN 100 % Ado, en collaboration avec Okapi et Phosphore
“Dans mon collège Val-du-Gy, à Avesnes-le-Comte dans le Pas-de-Calais, il y a des ruches. Un jour, ma prof de français m’a proposé d’aller y jeter un œil. On a mis une combinaison pour se protéger et on a nourri les abeilles en versant du sirop dans un récipient. Et j’ai adoré.”
“Depuis, je vais voir les abeilles tous les jours. Au début du printemps, on a eu la mauvaise surprise de trouver une ruche dévastée. Les ouvrières n’avaient pas fait assez de provisions avant d’hiberner : elles sont mortes de faim. En France et ailleurs, les abeilles disparaissent, alors qu’elles sont essentielles au fonctionnement de la nature. Pour qu’elles puissent survivre, il faut planter des fleurs et lutter contre la pollution et les pesticides qui les empoisonnent.”
Le spécialiste des abeilles Nicolas Vereecken le dit bien : il n’y a pas forcément besoin d’installer des ruches dans tous les établissements scolaires. “C’est comme si pour sauver les oiseaux, on installait des poulaillers partout.”
Mais on a besoin de préserver la diversité de la flore en créant des jardins, en laissant pousser des mauvaises herbes, etc.
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