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Où fera-t-il bon vivre dans la France de 2050 ?

En se basant sur des études scientifiques, WE DEMAIN vous invite à un reportage-fiction dans ce que pourrait être la France, ses paysages et ses activités dans 30 ans. Quelles seront les villes plus attractives, les régions les plus sinistrées ? En route !

Le 16/02/2021 par Gaétan Trillat
(Crédit : Antonio Uve)
(Crédit : Antonio Uve)

Les projections des scientifiques ont de quoi faire peur. En découvrant la série de cartes prospectives publiée en février  2020 par l’Agence européenne de l’environnement (EEA), la France a compris qu’elle allait connaitre d’ici à la fin du siècle une multiplication d’épisodes climatiques extrêmes. Sècheresses dans la Beauce, incendies en Sologne, littoral submergé à Dunkerque, tempêtes violentes en Bretagne… Aucune partie du territoire métropolitain ne sera épargnée.

Retrouvez la suite de cet article et de notre Grand dossier sur “LA FRANCE EN 2050” dans WE DEMAIN n°33, en kiosque le 18 février, et disponible sur notre boutique en ligne.

Mais au quotidien, qu’est-ce que cela va changer, au travail comme dans les loisirs ? Il faudra bien vivre dans cette France, et même tenter d’y vivre bien. Dans trente, cinquante ou cent ans, les habitants de notre pays voudront toujours flâner en ville, se ressourcer en forêt, à la mer ou en montagne. Et ils tiendront, peut-être même encore plus qu’aujourd’hui, à avoir sur leurs tables des produits locaux de qualité. Les loisirs et le goût des bonnes choses ne vont pas disparaitre, mais vont nécessiter un effort d’adaptation inédit.

En nous basant sur les projections scientifiques les plus tangibles, WE DEMAIN vous invite à imaginer la France en 2050 à travers un grand reportage de fiction. En suivant le parcours de plusieurs personnages, vous découvrirez où l’on y vit plus ou moins agréablement et à quel point le climat a redessiné la géographie du pays.

Si nous avons choisi cet horizon de trente ans, c’est pour deux raisons : d’abord, il est suffisamment proche pour que nombre d’entre nous puissent s’y projeter. Ensuite, parce que, selon les scientifiques, il est trop tard pour y changer quelque chose. S’il faut bel et bien que le monde s’engage le plus tôt possible vers la neutralité carbone, c’est pour éviter la catastrophe en 2100. Pour 2050, les dés climatiques sont déjà jetés.

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