Un bol d’air dans les Yvelines
Avec l’augmentation du prix de l’énergie, partir loin des villes n’est pas donné à tout le monde. Pour les Franciliens, les Yvelines sont ainsi devenus une destination de premier choix. Au nord, les boucles de la Seine avec des coins propices à la baignade. Au sud, la vallée de la Chevreuse et la forêt de Rambouillet pour des randonnées et des balades à vélo. Mais attention aux loups qui rôdent !
Cet article est issu de notre grand dossier “OÙ FERA-T-IL BON VIVRE DANS LA FRANCE DE 2050 ?“, publié dans WE DEMAIN n°33, en kiosque le 18 février et disponible sur notre boutique en ligne.
Heureux comme à Quimper
Dans le Finistère, département devenu hyper touristique car épargné par les canicules estivales, Quimper est une ville très prisée. Elle compte désormais plus de 100 000 habitants (contre 60 000 en 2020) et une intense vie culturelle toute l’année. Les visiteurs apprécient son majestueux centre historique et la proximité des plages de rêve du sud-Finistère.
La Bourgogne, nouvelle Provence
Des vignes baignées par le soleil, des forêts de pins, de cyprès et de chênes verts et le bruit des cigales… Non, vous n’êtes pas dans le Var, mais en Bourgogne. Le climat méditerranéen est remonté jusqu’ici, attirant de nombreux touristes à Mâcon, Dijon ou Beaune. Le Jura tout proche offre aussi des baignades agréables dans les lacs et les cascades.
La Baie de Somme éclipse l’Atlantique
Plutôt que l’air suffocant du bassin d’Arcachon, les amateurs de dunes et de marées préfèreront la Somme. Depuis le très chic Saint-Valery-sur-Somme, partez à la découverte des phoques et des centaines d’espèces d’oiseaux qui peuplent la baie. Pour un bain dans la Manche, dont les eaux dépassent toujours les 20 °C en été, rendez-vous à Quend-Plage.
A lire aussi : La France pourrait connaître des étés à 50°C d’ici la fin du siècle
La Côte d’Azur hors saison
Nice, Cannes et l’arrière-pays provençal conservent un charme indéniable et n’ont pas cessé d’attirer les visiteurs. Seulement la haute saison se situe désormais à Pâques et à la Toussaint, quand les températures n’excèdent pas 35 °C. L’été, les intrépides osant s’aventurer dans cette région calcinée par le Soleil sont plus rares.
