Partager la publication "“Le zéro déchet m’a aidée à sortir de la galère”"
Au chômage, avec quatre enfants à charge, Andrée était “dans la galère”. Un jour, en 2015, elle reçoit un tract de la mairie de Roubaix, où elle vit, qui recherche 100 familles prêtes à se lancer dans un défi “zéro déchet”.
Au départ, elle y voit surtout une façon de faire des économies. Et les débuts ne sont pas si faciles. “La première année, il faut tout changer, on se trompe parfois, mais ce n’est pas grave, on apprend peu à peu”, se rappelle-t-elle.
Au départ, elle y voit surtout une façon de faire des économies. Et les débuts ne sont pas si faciles. “La première année, il faut tout changer, on se trompe parfois, mais ce n’est pas grave, on apprend peu à peu”, se rappelle-t-elle.
200 g de poubelle en 6 mois
La mairie donne aux familles participantes une balance pour peser leurs poubelles et leur propose des ateliers pour apprendre à confectionner des produits d’entretien, des conserves, ou les techniques du compostage…
Aujourd’hui, Andrée et Guy sont “carrément dans le zéro déchet”. Durant les six derniers mois, ils n’ont accumulé que 200 g de déchets non recyclables et ne dépensent que 210 euros par mois pour leurs courses, qu’ils font en vrac.
Pour les fruits et légumes, ils louent à la mairie un grand potager de 70 mètres carrés : “En trois semaines, j’ai récolté 14 kg de fraises !”, raconte-t-elle avec fierté.
Pour Andrée, avoir le moins de déchet possible est même devenu un jeu. “J’en avais marre de jeter mes queues de fraises”, ajoute-t-elle. “J’ai fait plusieurs test, et aujourd’hui je m’en sert pour faire un coulis, c’est très bon !”.
We Demain vous emmène à la rencontre d’Andrée et de Guy, chez-eux, à Roubaix.
Aujourd’hui, Andrée et Guy sont “carrément dans le zéro déchet”. Durant les six derniers mois, ils n’ont accumulé que 200 g de déchets non recyclables et ne dépensent que 210 euros par mois pour leurs courses, qu’ils font en vrac.
Pour les fruits et légumes, ils louent à la mairie un grand potager de 70 mètres carrés : “En trois semaines, j’ai récolté 14 kg de fraises !”, raconte-t-elle avec fierté.
Pour Andrée, avoir le moins de déchet possible est même devenu un jeu. “J’en avais marre de jeter mes queues de fraises”, ajoute-t-elle. “J’ai fait plusieurs test, et aujourd’hui je m’en sert pour faire un coulis, c’est très bon !”.
We Demain vous emmène à la rencontre d’Andrée et de Guy, chez-eux, à Roubaix.