Partager la publication "Cette start-up américaine veut vous vendre 400 dollars une machine qui ne sert… à rien"
On peut se présenter comme “l’Apple du jus de fruit” et prendre ses clients pour des poires. C’est en tout cas ce dont est accusée la start-up américaine Juicero par ses nombreux clients mécontents.
Au centre de la polémique : un article de Bloomberg qui démontre que l’extracteur de jus que les consommateurs ont payé 400 dollars – et jusqu’à 700 dollars pour les premiers acheteurs – est tout simplement inutile.
Présenté comme un moyen simple de s’alimenter sainement et de lutter contre l’obésité, l’extracteur de Juicero ne fonctionne pas avec des fruits et légumes… mais avec des poches en plastique contenant les ingrédients. Et vendues entre 5 et 8 dollars pièce ! Un modèle économique inspiré des capsules Nespresso, qui a permis à la start-up Juicero de lever 120 millions de dollars auprès d’investisseurs, dont Alphabet la maison-mère de Google.
Or, comme l’ont démontré les journalistes de Bloomberg, pas besoin d’une machine à 400 dollars pour réussir son jus de fruit. Il suffit de percer la poche avec une paire de ciseaux et d’en vider le contenu dans un verre pour avoir le même résultat !
Au centre de la polémique : un article de Bloomberg qui démontre que l’extracteur de jus que les consommateurs ont payé 400 dollars – et jusqu’à 700 dollars pour les premiers acheteurs – est tout simplement inutile.
Présenté comme un moyen simple de s’alimenter sainement et de lutter contre l’obésité, l’extracteur de Juicero ne fonctionne pas avec des fruits et légumes… mais avec des poches en plastique contenant les ingrédients. Et vendues entre 5 et 8 dollars pièce ! Un modèle économique inspiré des capsules Nespresso, qui a permis à la start-up Juicero de lever 120 millions de dollars auprès d’investisseurs, dont Alphabet la maison-mère de Google.
Or, comme l’ont démontré les journalistes de Bloomberg, pas besoin d’une machine à 400 dollars pour réussir son jus de fruit. Il suffit de percer la poche avec une paire de ciseaux et d’en vider le contenu dans un verre pour avoir le même résultat !
En réponse au scandale, la start-up a promis de rembourser les clients mécontents. Une histoire en forme d’avertissement aux nombreuses entreprises se lançant dans les objets connectés.