Partager la publication "#Metoo, #Balancetonporc : quand les réseaux sociaux dénoncent le harcèlement sexuel"
https://twitter.com/LettreAudio/status/918810180879515653?ref_src=twsrc%5Etfw
À l’origine de ce phénomène : la française Sandra Muller, journaliste à La lettre ouverte de l’audiovisuel, qui a lancé le 13 octobre le hashtag “BalanceTonPorc” sur Twitter en réaction à l’affaire Harvey Weinstein. Un producteur de cinéma américain accusé de viol.
La journaliste française invite les victimes à donner les détails et le nom de leur agresseur, elle-même ayant subi cela par son ancien directeur de chaine. “Tu as des gros seins. Tu es mon type de femme. Je vais te faire jouir toute la nuit”, lui aurait dit son agresseur.
https://twitter.com/Ivy_Luxovius/status/921007288495820801?ref_src=twsrc%5Etfw
https://twitter.com/JuliaMolkhou/status/919305312892530689?ref_src=twsrc%5Etfw
Des atteintes souvent sans conséquences pour les agresseurs. Que ce soit par manque de preuves, refus de victimisation ou faute aux lenteurs de la justice.
https://twitter.com/Guillaume_Lrz/status/919491973504958464?ref_src=twsrc%5Etfw
Grâce à ces hashtags, les personnes ayant été harcelées ou violées peuvent parler et ainsi sensibiliser à travers les réseaux sociaux, pour comprendre que cela n’arrive pas qu’aux autres, que ce n’est pas normal et surtout trop fréquent.
Cofondateur de la marque de vêtements techniques Lagoped, Christophe Cordonnier défend l'adoption de l'Éco-Score dans…
Chaque année, comme un rituel bien huilé, le Black Friday déferle dans nos newsletters, les…
Fondé par une femme, Jay Graber, le réseau social Bluesky compte plus de 20 millions…
À la COP29 de Bakou, les pays en développement attendent des engagements financiers à la…
Pourquoi et comment un groupe français de services numériques décide de mettre la nature au…
Face aux pressions anthropiques croissantes, les écosystèmes côtiers subissent une contamination insidieuse par des éléments…