Partager la publication "Tiny house 100 % low-tech : se chauffer avec un poêle de masse"
Vivre en toute autonomie dans une tiny house 100 % low-tech. C’est le défi que se sont lancés deux ingénieurs de l’association Low-tech Lab : pendant 10 mois, ils habiteront en colocation dans cette maisonnette et testeront douze technologies simples, durables et accessibles à tous tant techniquement qu’économiquement.
En parallèle, ils publient chaque mois une vidéo pour présenter l’une de ces low-tech dans une web-série baptisée En quête d’un habitat durable. L’épisode 2 est consacré aux sources de chaleur dans l’habitat, ici un poêle de masse et un capteur à air chaud.
En parallèle, ils publient chaque mois une vidéo pour présenter l’une de ces low-tech dans une web-série baptisée En quête d’un habitat durable. L’épisode 2 est consacré aux sources de chaleur dans l’habitat, ici un poêle de masse et un capteur à air chaud.
“Le chauffage représente presque 80 % de l’énergie consommée dans une maison”, souligne Clément Chabôt, l’un des deux colocataires.
Chauffage autonome
Le poêle de masse, dont vous pouvez retrouver un tuto d’auto-construction sur le site de l’association, permet de stocker la chaleur grâce… à sa masse, constituée de matériaux lourds comme la pierre ou la brique. Il restitue la chaleur même une fois éteint, jusqu’à 24h après.
En plus du poêle, la tiny house est équipée d’un capteur à air chaud en ardoise, plus naturelle et moins polluante que l’aluminium. Cette technologie, située sur une paroi extérieure de la maison, permet de capter l’air intérieur et de le réchauffer en le faisant circuler dans un circuit avant de le restituer à l’intérieur.
Les deux ingénieurs font également un point sur l’isolation, qui “permet d’économiser 80 % de l’énergie si elle est très bonne”, rappelle Pierre-Alain Lévêque, le second colocataire. L’isolation de leur tiny house est à base de lin, coton et chanvre en partie recyclés. En plus d’être efficace, ce mélange est très doux selon les deux protagonistes…
En plus du poêle, la tiny house est équipée d’un capteur à air chaud en ardoise, plus naturelle et moins polluante que l’aluminium. Cette technologie, située sur une paroi extérieure de la maison, permet de capter l’air intérieur et de le réchauffer en le faisant circuler dans un circuit avant de le restituer à l’intérieur.
Les deux ingénieurs font également un point sur l’isolation, qui “permet d’économiser 80 % de l’énergie si elle est très bonne”, rappelle Pierre-Alain Lévêque, le second colocataire. L’isolation de leur tiny house est à base de lin, coton et chanvre en partie recyclés. En plus d’être efficace, ce mélange est très doux selon les deux protagonistes…
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