La chambre climatique fermée qui recouvre la mini-ville 1. (Crédit : Philippe Bruley)
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La première mini-ville a été inaugurée en 2018, et des expérimentations réalisées sur un chalet en bois ont permis de recueillir des données sur le matériau. À partir de janvier, d’autres isolants biosourcés seront testés sur la maisonnette, tels que la laine de lin et de chanvre ou la ouate de cellulose. À l’intérieur, un climat peut être imposé pour reproduire la consommation énergétique d’un foyer. “Cela nous permet d’avoir des données fiables et de travailler sur le vieillissement des matériaux. Chaque isolant sera testé quelques mois”, développe Sandrine Marceau, chercheuse en charge du bâtiment biosourcé.
La deuxième mini-ville vient d’être inaugurée à côté de son ainée. Elle a été conçue pour étudier l’apport de la végétation et de l’eau en ville, notamment lors des canicules. Alors que le climat tend à se réchauffer, les chercheurs expérimentent une marre alimentée par trois “jardins de pluie”. Cette zone fraîche pourrait être un refuge pour les citadins et un rempart contre les îlots de chaleur urbains, un phénomène dû notamment à l’énergie solaire absorbée ou réfléchie par les immeubles.
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