Le numéro 42 de WE DEMAIN, dans une nouvelle formul plus heureuse, est disponible en kiosque à partir du mercredi 17 mai 2023. Crédit : WD.
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Pour ce numéro de printemps, WE DEMAIN fait l’objet d’une nouvelle maquette, innovante par son graphisme artistique et qui joue davantage sur la fusion entre les images et les textes. Ce WE DEMAIN N°42 change les codes visuellement mais a fait aussi l’objet d’un travail de fond sur le choix des sujets, pour partir davantage sur des thématiques optimistes. Parce qu’on a plus que jamais besoin d’un futur désirable.
Comme le souligne Cyril Dion, « Nous avons besoin d’imaginer le monde dans une version plus constructive et positive ». Et en la matière, les Finlandais sont en première ligne. Les habitants de ce pays scandinave sont le peuple classé premier au palmarès mondial du bonheur. WE DEMAIN a voulu comprendre pourquoi. Notre journaliste Gérard Leclerc a creusé la question. En a émergé quelques clés pour décrypter les secrets du bonheur finlandais.
Ce numéro WE DEMAIN N°42 se penche également sur le projet nucléaire ITER. À Cadarache, en Provence, Jean-Marie Hosatte nous raconte l’aventure scientifique la plus ambitieuse de tous les temps.
Connaissez-vous le flacking ? Ce terme ne vous dit peut-être rien mais il est possible que vous ayez déjà croisé cet art au détour d’un trottoir. Il s’agit en effet de mosaïques posées par des artistes pour combler les trous du macadam urbain. Reportage à Lyon où le/la mystérieux.se artiste Emenem séduit par son talent.
Direction aussi Saumur, où Patricia Petibon, soprano colorature, veut transmettre un art pluriel grâce à son académie Les Chants d’Ulysse. Un enseignement placé sous le signe de la bienveillance, dont elle a partagé les principes et les objectifs dans WE DEMAIN, sous la plume de Gilles Trichard.
Enfin, dans notre tour du monde des bonnes idées, la revue fait escale sur l’île d’Amsterdam. Dans cette Terre australe, minuscule confetti français au milieu de nulle part en plein océan Indien, un projet assez unique en son genre est en cours : essayer de retrouver l’écosystème original de l’île. Cela implique, d’ici un an, d’éradiquer toutes les espèces animales introduites – volontairement ou non – par l’homme.
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