Suite à l’idée émise en février dernier par Bill Gates, la Californie examine un projet de « taxe sur les robots ». Le concept : exiger des cotisations sociales des entreprises même lorsque leur main d’œuvre a été remplacée par des intelligences artificielles ou des machines. Une mesure indispensable si l’on veut éviter à l’avenir un chômage de masse doublé d’une concentration des richesses entre les mains de quelques actionnaires.
Mais cette taxe pose de nombreuses questions : comment définit-on un robot ? Les algorithmes en sont-ils ? Vont ils détruire des emplois ou seulement les soulager de certaines tâches ? Une seule chose est sûre : l’automatisation de notre économie avance à grands pas. Et ceux qui sont contre le principe d’un nouvel impôt devraient commencer par vérifier que leur emploi n’est pas déjà menacé.
Mais cette taxe pose de nombreuses questions : comment définit-on un robot ? Les algorithmes en sont-ils ? Vont ils détruire des emplois ou seulement les soulager de certaines tâches ? Une seule chose est sûre : l’automatisation de notre économie avance à grands pas. Et ceux qui sont contre le principe d’un nouvel impôt devraient commencer par vérifier que leur emploi n’est pas déjà menacé.