Partager la publication "“Se faire ghoster” : ce silence radio 2.0 synonyme de rupture"
Cet anglicisme – traduit grossièrement par “se faire fantômer” – ne renvoie pas à un phénomène nouveau. Mais ce dernier trouve aujourd’hui son essor avec l’utilisation des nouvelles technologies.
Sur les sites de rencontres, par exemple, face à la multitudes d’affinités que l’on peut tisser, il est aussi facile d’aborder quelqu’un que de l’envoyer aux oubliettes sans explication. Un choc d’autant plus dur à encaisser lorsque l’on constate que la personne continue de communiquer sur les réseaux sociaux… mais plus avec vous.
Une websérie pour illustrer le “ghosting”
Une bonne manière pour ne pas rester dans l’incompréhension : “Pourquoi avoir décidé de faire le mort ?” “Qu’est-ce que j’ai fais pour mériter ça ?” Lorsque l’interlocuteur daigne décrocher son téléphone.