Regina Tchelly. En arrière plan, Rio de Janeiro.
Partager la publication "Dans les favelas, une chef transforme les restes alimentaires en plats gastronomiques"
Peau de banane bio
Une telle « cuisine durable » implique de privilégier les fruits et légumes cultivés sans pesticides, qui ont tendance à se concentrer sur la peau. En plus de donner des cours, Favela Organica œuvre donc à installer des jardins partagés dans lesquels les habitants peuvent faire leurs propres récoltes selon les principes de la permaculture. L’organisme fournit de la terre locale passée aux tamis et des graines de légumes bios à tous ceux qui veulent se lancer.
Concerts-repas, buffets d’anniversaire, « pause café durable », distribution de nourriture aux SDF… On ne compte plus les évènements organisés chaque année par l’organisme. Ses rendez-vous attirent autant les classes populaires soucieuses de faire des économies que les classes moyennes à la recherche d’une nourriture plus saine et responsable. Ils ont suscité l’attention de tous les médias brésiliens.
Face aux critiques croissantes contre l'aquaculture intensive des saumons, deux voies émergent pour rendre la…
Et si on essayait de vivre l’hiver autrement ? Par choix plus que par nécessité,…
Après un an et demi d’arrêt forcé, la liaison ferroviaire Paris-Milan vient enfin de reprendre,…
Jeudi 3 avril, des milliers de personnes – agents publics, étudiant·es, chercheur·ses et leurs soutiens…
Longtemps insaisissables, les nuages fascinent autant les scientifiques que les artistes, tous désireux de capturer…
L’été 2022 a laissé une cicatrice profonde dans la forêt des Landes. Entre manque d’anticipation,…