Le 13 décembre 2013, au plus fort du pic de pollution, les Parisiens ont inhalé jusqu’à 6 millions de particules fines par litre d’air: pour la première fois, une étude a permis de mesurer dans l’atmosphère de la capitale ces particules inférieures à un micron, très nocives pour la santé.
« C’est une situation semblable à celle du tabagisme passif. Un test en laboratoire a montré que la fumée de huit cigarettes dans une pièce d’environ 20 mètres carrés produit autant de particules », révèle cette étude réalisée à l’aide d’un nouvel appareil, le Light Optical Aerosol Counter (LOAC), embarqué à bord du
« Ballon de Paris
».
Initialement à vocation touristique, cet aéronef, installé dans le XVe arrondissement, informe depuis 2008 les Parisiens sur la qualité de l’air ambiant. Ce nouveau dispositif a permis, pour la première fois, de réaliser des prélèvements sur une colonne d’air de plusieurs centaines de mètres de haut. Les relevés effectués pour cette étude expérimentale, réalisée au cours des dix-huit derniers mois, concernaient les particules inférieures à un micron, qui sont aussi les plus dangereuses pour la santé, a précisé lors d’une conférence de presse l’association Airparif, chargée de mesurer la qualité de l’air à Paris. « On connaissait la nocivité de ces très petites particules, inférieures à un micron. La nouveauté de cette étude, c’est qu’elle permet de savoir quelle quantité de ces particules nous respirons à chaque litre d’air inspiré », explique-t-on chez Aérophile, société exploitant le ballon qui a participé à ces travaux aux côtés d’Airparif, de la Mairie de Paris et du CNRS.
Paris (AFP) – Les effets de l’épisode majeur de pollution de l’air de décembre 2013 à Paris peuvent être comparés au tabagisme passif, selon une étude réalisée au cours des 18 derniers mois et présentée lundi, qui met en garde contre les effets sur la santé de l’exposition chronique aux particules fines.
Les relevés effectués pour cette étude concernaient les particules inférieures à un micron présentes dans l’air de la capitale, qui sont aussi les plus dangereuses pour la santé, a précisé lors d’une conférence de presse l’association Airparif, chargée de mesurer la qualité de l’air dans la capitale, qui a notamment participé à ces travaux, aux côtés de la Mairie de Paris et du CNRS.
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Les relevés effectués pour cette étude concernaient les particules inférieures à un micron présentes dans l’air de la capitale, qui sont aussi les plus dangereuses pour la santé, a précisé lors d’une conférence de presse l’association Airparif, chargée de mesurer la qualité de l’air dans la capitale, qui a notamment participé à ces travaux, aux côtés de la Mairie de Paris et du CNRS.
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