Le couple a bà¢ti une maison biodégradable, intégrée à son environnement. (Crédit : Lionel Prado)
En France, entre 1 et 2 % de la population déclare souffrir d’électrosensibilité, bien que ce trouble ne soit pas encore reconnu comme une maladie par la communauté scientifique. Alors pour Christian Schifferle, président de la coopérative à l’initiative du projet pilote, l’édification de cette zone protégée est une première victoire. « Aujourd’hui, cet immeuble symbolise notre sortie de l’invisibilité », raconte-t-il au quotidien.
Un immeuble protégé dans un cadre protecteur
D’une valeur totale de 4,9 millions d’euros, le bâtiment a été en partie financé par la ville de Zurich, qui a également fourni le terrain de 1200 m². Pour prétendre à l’obtention d’un appartement, les habitants ont dû fournir un certificat médical attestant de leurs symptômes (migraines, fatigue chronique, difficultés à se concentrer, problèmes respiratoires, dépression, intolérances alimentaires). Si l’étude d’évaluation menée par l’université de Berne atteste d’une diminution significative des troubles chez les habitants, le projet pourrait être étendu à d’autres sites. En France aussi, quelques « zones blanches » commencent à apparaître, mais aucune ne permet aux malades de vivre à l’abris des ondes toute l’année.
Un reportage à lire dans son intégralité sur le site du Monde.fr
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